Mathieu : « Ça a pris longtemps a réaliser qu’il n’y a pas vraiment une honte à demander de l’aide. Et dans ma situation, quand j’ai demandé de l’aide, l’aide était là. Étant donner que ce que je dirait à une autre personne qui, peut-être vient juste de recevoir ce diagnostique, ou, comme moi-même vit avec ça depuis longtemps, c’est vraiment de – c’est cliché – de pas perdre l’espoir. »